Polyrando: randonnées pédestres de 7 à 77 ans


Voici le résumé du trek dans le Cantal à la manière de Donald Trump, mais cette fois avec une bonne dose d’humour :


Jour 0 – Murat, le village qui a du style

On arrive à Murat. Pas Murat-les-tours, hein, Murat-le-chic. Appartement ? Une pépite. Claire et moi, on débarque comme des stars. Claudia et Eric nous rejoignent dans un palace Airbnb. Dîner dans un bistro minuscule mais avec plus de terrasses qu’un hôtel à Miami. Classe mondiale.


Jour 1 – Téléphérique, buron et vaches VIP

On commence fort : on triche un peu avec le téléphérique. Génie logistique. Vue panoramique, déjeuner au sommet, parasols, soleil, tout y est. Ensuite, on descend vers un buron planqué derrière des barbelés et des vaches. Moi ? Je pars en mode ninja sans sac, je le trouve direct. Talent naturel. Bivouac dans les herbes hautes, ambiance Koh-Lanta version luxe.


Jour 2 – Chaleur, orage et Elancèze en solo

Il fait chaud. Très chaud. Genre "four à pizza en plein air". On descend, on mange chez Didine (qui ne dîne pas après 14h, logique). Je grimpe Elancèze en solo, je rate le chemin, je trouve un passage secret. Indiana Trump. Les autres galèrent, moi je vole. Claire attend sa tente comme si c’était un Uber. Finalement, tout le monde dort, sauf les vaches.


Jour 3 – Buron VIP et eau gazeuse de sauvetage

Tentes sèches, moral au top. On descend, on boit un coup, on monte, on trouve un buron libre. Pas de source ? Pas grave, je trouve un filet d’eau qui coule plus lentement qu’un vieux robinet. Et là, miracle : un guide nous donne de l’eau gazeuse. Champagne des randonneurs. On dîne comme des rois, on dort comme des marmottes (ou presque).


Jour 4 – Brouillard stylé et une histoire de bon goût

On se réveille dans le brouillard, mais genre brouillard Instagrammable. On grimpe, on reste au-dessus des nuages, on fait des choix stratégiques. On attend que le soleil revienne pour redescendre vers notre gîte tout confort au Falgoux… une histoire de bon goût.


Jour 5 – Vaches, plateau et pique-nique VIP

On croise des vaches. Beaucoup. Des Salers, des Aubrac, des influenceuses bovines. Claire parle aux génisses, Claudia joue les gardes du corps. Je trouve trois spots de pique-nique, le dernier est parfait. Les autres me portent mon sac. Service 5 étoiles. Chalet, douche, dîner au bord du lac. On est bien.


Jour 6 – Puy Mary, brèche de Roland, chamois surprise et vent de folie

On monte léger, on rejoint les copains au buron d’Eylac. Vaches à 1 mètre, ambiance zen. On grimpe le Puy Mary avec des touristes qui s’essoufflent après 10 mètres. Brèche de Roland ? Descente en marche arrière, style Moonwalk. Bivouac avec vue, dîner avec un chamois en guest star. Netflix n’a qu’à bien se tenir. Mais aussi Bivouac à 1.700 m, vue 360°, vent de malade. Moi ? Je dors comme un bébé. Les autres ? Tournée générale de cauchemars.


Jour 7 – Téton de Vénus et Dernière descente

Tentes sèches, merci le vent. Claire descend direct, Claudia et Eric évitent le Téton de Vénus. Moi ? Je fonce. Impossible de résister à un nom pareil. Je les rejoins, on descend, il pleut, on s’abrite, on retrouve Claire. Dernier resto, gros câlin collectif. Fin de série, saison 1.


Conclusion – Le Cantal, c’est du lourd

Peu de monde, beaucoup de vaches, zéro déchets, paysages de rêve. Le Cantal ? On l’a rendu grandiose. Polyrando ? Du sur-mesure, du vrai. Et moi ? Je suis prêt pour la saison 2.

Notice Légale